English Version
The situation in eastern Democratic Republic of Congo (DRC) is more alarming than ever. The Rwandan army, under the leadership of despot Paul Kagame, is using its proxy militia, M23, to spread terror in Goma and the surrounding regions. Despite the worsening humanitarian crisis, no significant international measures have been taken, and the number of displaced people continues to rise.
For decades, Kagame’s regime has imposed a reign of terror in the Great Lakes region, with systematic violence in the DRC. The international community’s silence is inexplicable, despite numerous UN reports and public condemnations from countries such as France, confirming Rwanda’s direct involvement in these atrocities.
The people of DRC are losing faith in the international community’s commitment to peace and democracy. The acts of vandalism targeting the embassies of the United States, France, and Belgium on January 28 reflect this deep frustration.
It is time for the world to take a firm stand and end Paul Kagame’s reign of bloodshed. He has not only imposed an autocratic regime in Rwanda, suppressing freedoms and criminalizing dissent, but has also destabilized the Great Lakes region, particularly the DRC.
As long as Kagame’s terror continues, the future of democracy in Sub-Saharan Africa remains under threat. The growing disillusionment of the Congolese people towards democratic values is a clear warning that urgent action is needed at the highest levels of decision-making. The world must act before it is too late.
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Déclaration du Congrès Mondial pour la Liberté sur la Crise à l’Est de la RDC
Version Française
La situation qui prévaut à l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC) est plus que jamais préoccupante. L’armée rwandaise, sous l’autorité du despote Paul Kagame, utilise son groupe armé M23 pour semer la terreur à Goma et dans les régions avoisinantes. Aucune mesure humanitaire efficace n’a été mise en place, et le nombre de déplacés ne cesse d’augmenter.
Depuis des décennies, le régime de Kagame impose un règne de terreur dans la région des Grands Lacs, avec une violence systématique en RDC. Le silence de la communauté internationale est incompréhensible, alors que de nombreux rapports des Nations Unies et des déclarations officielles de pays comme la France confirment l’implication directe du Rwanda dans ces atrocités.
Les populations congolaises perdent foi en la communauté internationale et en son engagement en faveur de la paix et de la démocratie. Les actes de vandalisme visant les ambassades des États-Unis, de la France et de la Belgique le 28 janvier témoignent de cette frustration profonde.
Il est temps que les voix s’élèvent pour mettre un terme au règne sanguinaire de Paul Kagame. Non seulement il a instauré une autocratie au Rwanda, privant son peuple de libertés fondamentales et imposant une pensée unique, mais il a aussi déstabilisé la région des Grands Lacs, et en particulier la RDC.
Tant que ce régime de terreur perdure, l’avenir de la démocratie en Afrique subsaharienne est gravement menacé. La désillusion croissante du peuple congolais vis-à-vis des valeurs démocratiques est un signal d’alarme qui doit inciter à des actions concrètes au plus haut niveau décisionnel. Le monde doit agir avant qu’il ne soit trop tard.
